Dans son nouveau clip, Ibrahim Maalouf nous plonge dans une dystopie glaçante, où la résistance est menée par des “groupuscules féminins, dissidents et non armés”.
Le nouveau clip d’Ibrahim Maalouf, reprenant l’hymne féministe de Beyoncé, Run The World (Girls), est un véritable coup de poing. Il nous plonge dans une dystopie glaçante, en 2027, un jour d’octobre où le gouvernement annonce, par la voix de son “ministère des origines” un couvre-feu pour les personnes dites “différentes”, qui doivent porter un “badge de reconnaissance“.
Dans ce climat de terreur, le Premier ministre annonce aussi que les mesures d’interdiction des rassemblements sont renforcées, et que des infiltrations des groupuscules “féminins, dissidents et non-armés qui encouragent les mélanges entre populations différentes et Français de souche” – délit interdit depuis 2020 – sont en cours.