L’urgence et les défis auxquels nous devons tous faire face nous obligent à un changement démocratique profond. Le mouvement des Gilets jaunes, les jeunes et tous ceux qui ont manifesté pour le climat, contre la résignation, illustrent, chacun à sa manière, notre aspiration citoyenne à être les acteurs de notre propre avenir. À l’occasion des élections municipales de 2020, il y a nécessité de proposer une alternative démocratique, sociale, écologique à la majorité actuelle.
Cette alternative ne peut être construite que par et pour les citoyens : militants politiques, associatifs, les habitants, les collectifs des quartiers, toutes les générations et les élu-es volontaires.
C’est pourquoi nous appelons chaque gapençaise et gapençais à prendre part à l’élaboration d’un projet et à participer à la création d’une liste la plus large possible à même de porter les aspirations du plus grand nombre.
Notre ville ne manque pas d’initiatives, de dévouements, de volontés, de créativité à mettre en commun pour bâtir un avenir durable pour aujourd’hui et les générations futures.
Un rassemblement de toutes ces richesses, de solidarité, d’engagement écologique, de démocratie active est le seul chemin qui vaille pour construire ce projet. Il est temps que toutes les bonnes volontés se rassemblent.
Premières signatures de l’appel:
Nicole Castellas, Guy Bouchet, “Tite Mèl”, Bernard Mascarelli, Aurore Althen, Marc Albouy, Emmanuelle Van broukhoven, Bertrand Herisson, Claude Dubut, Gilbert Piussi, Pascale Escallier, Jacques Clavel, Dominique Devert, Florian Locher, Nathalie Mayaudon, Michel Pons, Jacqueline Amourig, Etienne Trautman, Magali Fournier, Leo Artaud, Aveline Gau, Ben “La hyène”, Antoine Guardabascio, Rodolphe Fournier, Claude Jeannet…
Citoyennes, citoyens du gapençais (et ses environs), après la conférence de presse qui s’est tenue ce samedi 9 novembre au café du Verdun, il a été convenu de nous retrouver pour une première rencontre ouverte à tous :
mercredi 13 novembre à 20 heures
au centre social “Le CESAÏ”
(rue de l’imprimerie à Gap)
pour mettre en place le
“Collectif citoyen pour un printemps heureux”.
(chacun, selon ses moyens, amène un petit quelque chose à manger ou à boire, s’il peut)
Le 1er objectif est de remettre la démocratie à l’endroit en nous replaçant, citoyens, au cœur du débat politique local.
La commune est à nous et c’est à nous tous de décider collectivement de son devenir et de son organisation.
Et pour citer Jacques Prévert, il s’agit de prendre en main NOTRE histoire… Pas celle qu’on nous a apprise à l’école, celle qu’on ne nous apprend pas:
“C’est la vôtre et la nôtre,
celle de tous les jours
Y a celle des ouvriers
y a celle des paysans
y a celle des étrangers. »