Après une action de démontage menée par la Confédération paysanne sur le site usine des 1000 vaches, 4 militants ont été interpellés et placés en garde a vue. Quelques heures plus tard, alors qu’il retournait à Abbeville pour les soutenir, le porte-parole de la Conf’, Laurent Pinatel, a été violemment interpellé en gare d’Amiens.
C’est la 3e fois qu’il est placé en garde à vue dans le combat contre ce projet destructeur. C’est deux poids, deux mesures : répression syndicale d’un coté, impunité de l’autre.
Les Confédérations paysannes sont appelées à se mobiliser devant un maximum de préfectures.
A Gap, nous appelons toutes les forces syndicales, politiques et associatives soucieuses de la liberté de se battre pour l’avenir de tous à se rsembler ce vendredi 30 mai à 10h, devant la préfecture à GAP